Compte-rendu de la réunion du conseil d'administration

 Présents : Olivier Avram, Sandrine Bertho, Yves Le Blevec, Amaury François, Pierre Brasseur, David Sineau et Antoine Rioux

Excusés : Jean-Baptiste Lemaire, Bertrand Delesne, Caroline Olagne-Vieille et Aymeric Chappellier 

Invitées : Annabelle Moreau et Sandrine Pelletier

Bureau

Locaux de la Classe 

La Classe Mini ne pourra pas occuper les bureaux qu’elle loue actuellement auprès de Lorient Agglomération après le 31 décembre 2013. La convention d’occupation à titre précaire n’est pas renouvelée. Une proposition est faite par Lorient Agglomération dans les anciens locaux de la CCI, qui seront loués pour partie par Lorient Grand Large : un bureau de 19m2 et un espace stockage. Le bâtiment est vétuste (même avec une remise au propre), le loyer deviendrait plus élevé notamment par la prise en charge des parties communes (au prorata de la surface louée), bien trop grandes pour les besoins de la Classe. Le bail serait à nouveau une convention d’occupation à titre précaire, ce qui ne donne pas de garanties suffisantes à la Classe Mini.

Le dossier est en cours.

Questions en cours

Dossier retour cargo 2013. 

Quel rôle de la Classe sur des dossiers comme la prestation de retour cargo ? 

La Classe doit-elle gérer ce dossier dans sa totalité, et donc à la place des coureurs ?

Le prestataire Logistique Support, conseillé par la Classe et l’Organisateur n’a pas été retenu par les coureurs face à une offre commercialement plus avantageuse et aboutie. 

En prenant connaissance des arguments de la Classe, les coureurs ont néanmoins choisi de faire leur propre sélection. Le conseil d’administration est surpris de cette attitude mais comprend la démarche des adhérents. La consultation vers les prestataires a eu lieu il y a plus de 2 ans, certains coureurs n’étaient pas adhérents et donc pas informé de cette recherche.

Une solution pet être que l’organisateur prévoit cette prestation dans l’inscription. Il est peut probable qu’un organisateur souhaite prendre cette responsabilité.

Solution intermédiaire : l’organisateur pourrait gérer la logistique (gestion des bers, sortie d’eau, préparation des bateaux…) et les coureurs traiteraient avec un prestataire de transport maritime pour le fret. La gestion de la logistique peut être très lourde pour l’organisateur. 

Ce sujet sera abordé à nouveau début 2014. Le Conseil d’administration pourrait envoyé un mail aux coureurs pour contrer les idées reçues des coureurs, comme un partenariat avec Logistique Support.

Questions de coureur : 

« Puis-je utiliser un écarteur d’écoute de spi sur mon Pogo 2 ? Ce serait une perche amovible en verre (récupération de mât de planche).

Semblable à un outrigger, l’écarteur proposé doit être en aluminium si on se réfère à la règle s-1-k. Remarque : les Dingo 2 sont équipés d’outrigger en inox.

Si on se réfère au point 2 du préambule de la jauge série : « l’intégrité structurelle du bateau, tel que livré par le chantier, doit être conservée. Cette obligation porte sur les éléments suivants : coque, structure, pont, aménagements, cadènes de gréement, quille, safrans et gréement », et à l’article S-7-c : « La géométrie des divers éléments du bateau doit être identique (…). », alors l’écarteur d’écoute de spi proposé est interdit.

Réponse officielle : Conformément au préambule de la jauge série « l’intégrité structurelle du bateau, tel que livré par le chantier, doit être conservée. Cette obligation porte sur les éléments suivants : coque, structure, pont, aménagements, cadènes de gréement, quille, safrans et gréement » et conformément à l’article S-7-c « La géométrie des divers éléments du bateau doit être identique (…). », le conseil d’administration considère que les écarteurs d’écoute de voile ne sont pas autorisés sur les bateaux de série.

Cette information sera publiée à tous les coureurs.

Un hydrogénérateur qui dépasse les 6.50m est-il autorisé ?

L’hydrogénérateur n’est pas mentionné dans la jauge (article J-1). Selon la règle 2013, oui il y a infraction. Au vu de l’intérêt du développement de ce type d’énergie, un avenant à l’article J-1-b sera diffusé. La mention « dépourvus d’artifices ayant vocation à allonger la longueur à la flottaison » est maintenue. 

Le CA vote pour l’autorisation de l’hydrogénérateur et de l’éolienne à l’unanimité.

Cas d’un système qui modifie le comportement hydrodynamique de la carène et qui dépasse les 6,50m, y a-t-il infraction ? 

Si cela dépasse les 6,50m c’est interdit.

Cas de l’installation d’un système quelconque (hors liste des exceptions J-1-b) qui augmente la longueur hors-tout du bateau, faut-il rejauger pour vérifier qu’il ne dépasse pas les 6,50m ?

Tout ce qui n’est pas autorisé, listé dans l’article J-1-b est interdit s’il dépasse les 6,50m et augmente par conséquent la longueur du bateau.

Réponse : tout système quelconque non listé en J-1-b et non mentionné dans l’avenant ci-dessus (point i) est interdit. Il ne suffit pas qu’un appendice soit monté sur des femelots pour qu’ils soient considérés comme un safran, même avec rotation, et même de secours. 

Les 3 réponses faites au coureur seront diffusées à tous les coureurs.

Une évolution de la règle pour 2014 est à prévoir sur ces deux derniers points.